EAN | Titre |
0267 | et le principe d’incertitude d’Heisenberg |
Les champs électromagnétiques de la théorie | |
0168 | comme opérateur différentiel d’ordre deux |
1127 | étude approfondie sous l’angle de la décomposition des produits tensoriels |
1217 | Produits tensoriels déformés et algèbre du groupe de Lorentz |
1431 | Supraconduction – scénario heuristique |
1. Le lien entre les
déformations de la géométrie et celles des produits tensoriels
La théorie de la question (E) défend le point de
vue selon lequel les produits tensoriels peuvent être déformés et décomposés
non-trivialement.
Elle base cet a priori sur certaines réalités
physiques, parmi lesquelles :
– la géométrie peut être déformée (effet Lense-Thirring, ondes
gravitationnelles – liens externes Wikipédia France) et
– toutes les mesures physiques sont entachées par un
certain degré d’incertitude (principe
d’incertitude de W. Heisenberg – lien externe Wikipédia France).
2. Un outil pédagogique de
choix : la loi de Lorentz-Einstein
Malgré les réserves exprimées par ailleurs sur le
domaine de validité de cette loi, la volonté d’intégrer ces principes préliminaires
dans les mathématiques est justifiée par l’existence de la loi dite de
Lorentz-Einstein (LLE) dont le terme gravitationnel est visiblement un produit
tensoriel déformé par le cube de Christoffel (in extenso : par les
symboles homonymes du second type qui sont des combinaisons des
dérivées partielles premières des composantes du tenseur métrique local – lien
externe Wikipédia France).
3. Utilisation concrète des
méthodes de décomposition
L’existence même de cette loi encourage invite à
lui appliquer les méthodes de décomposition des produits tensoriels déformés :
intrinsèque, extrinsèque et des poupées russes. Toutes livrent des éléments
intéressants de réponse à la question initialement posée par un
mathématicien : « Quelles sont les paires ([F·¨], a)
plausibles dans lesquelles :
–
la
matrice [F·¨] représente la version mixte (up, down) du
tenseur champ électromagnétique (EM) et
–
le
vecteur a symbolise l’accélération
propre de la particule chargée ? »
Par ailleurs, ces méthodes peuvent utilement être
confrontées les unes avec les autres comme j’ai commencé à le montrer :
voir page dédiée.
L’emploi de la méthode extrinsèque sur la LLE
fournit une série de résultats fascinants (voir le document « A.
Einstein versus W. Heisenberg ») :
–
En
particulier, si l’accélération propre s’annule, la décomposition est triviale.
Au cas où elle ne s’annule pas, elle ne peut jamais être exactement colinéaire
à la vitesse de la particule (voir mon travail générique sur les classes
d’équivalence au sein des décompositions des produits tensoriels déformés).
–
Il
existe un nouveau formalisme pour le tenseur représentant le champ
électromagnétique (EM) et ce formalisme dépend du tenseur
métrique local (lien externe Wikipédia France) – ce qui constitue
une originalité apparente de cette approche. Cet aspect peut être rapproché de
considérations concernant la notion de condensat
de Bose-Einstein (lien externe Wikipédia France).
–
Il
existe des classes d’équivalences (lien externe Wikipédia
France) parmi les champs EM spécifiques de cette approche. Lorsque la règle
d’or (« L’inverse du conjugué vaut le conjugué de l’inverse ») est
respectée par les éléments liant les diverses représentations du tenseur champ
EM, certaines d’entre elles sont tout simplement équivalentes à des variations
infinitésimales de la métrique locale (voir mon document en anglais sur le
sujet) et elles se laissent relier à certaines données spécifiques des isolants topologiques (lien externe Wikipédia
France)
–
La
méthode extrinsèque permet une confrontation directe avec le principe
d’incertitude d’Heisenberg pour les paires (énergie-temps). Pour le cas où la
constante de Planck est conservée dans un changement de référentiel (ce qui a
toutes les chances d’être le cas), l’usage de la méthode extrinsèque montre qu’il
existe des circonstances préservant aussi l’élément de longueur et donc, validant
de facto les solutions de la théorie de la relativité générale.
Cette approche est donc compatible avec la théorie
d’A. Einstein tout en semblant indiquer que cette dernière serait une exigence
du principe d’incertitude et de sa préservation au cours des déplacements des
particules. Elle jette donc un nouveau regard sur les liens existant entre ces
deux théories fondamentales ; le tout dans un environnement totalement
quadridimensionnel. Elle ajoute une brique supplémentaire dans le mur
construisant un lien formel entre ces deux piliers de la physique moderne.
4. La loi de
Lorentz-Einstein interprétée comme un opérateur différentiel
Les prémisses de cette idée née en 2004 sont
exposées dans une version corrigée et modernisée (Voir le document ISBN
978-2-36923-016-8 dans sa version 2 du 04.12.2018). Elle a été développée
ensuite dans une série d’explorations plus complètes et sophistiquées (Voir le
document ISBN 978-2-36923-112-7).
5. La loi de
Lorentz-Einstein exprimée comme un produit de Lie déformé
Cette idée est explicitée dans le document ISBN
978-2-36923-112-7 et approfondie dans le document confrontant les méthodes de
décompositions (Voir le document ISBN 978-2-36923-101-1).
© Thierry PERIAT, 14 janvier 2019.